[Mariage - R] Evalys et Nil

Citation :: Mariage se déroulant (RP) le 14 septembre 1460 en l'église de Dax

En ce début septembre, période de fin d'été où le temps change fréquemment dans le sud-ouest, le curé de Dax avait un mariage à célébrer, celui de Nil et d'Evalys.
Ne voulant pas être en retard et souhaitant que l'église de Dax soit prête, Endymion se leva tôt et se rendit de bonne humeur à l'église. Il ouvrit grand les portes principales, secoua les enfants de chœur qui préparaient l'édifice en faisant la poussière, installant les fleurs et allumant les cierges. Le prêtre vérifia que tout était en place, calice, pain et surtout le Livre des Vertus.
Tout était prêt, restait à annoncer à tout le village qu'un mariage allait avoir lieu. Il mit ses habits sacerdotaux et envoya un sacristain sonner les cloches.

Et pendant ce temps il attendit les mariés et les invités en haut des marches, devant les portes.

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

[jeudi matin]

Evalys ouvrit les yeux de bonne heure se matin là, bien qu’elle avait peu dormi, excité par le grand jour qui s’annoncé elle avait eu grand peine à trouver le sommeil et là c’est à l’aube qu’elle ouvrit les yeux et vis qu’il la regardé, elle lui souria et se blottis contre lui, profitant de ce moment car elle savait qu’un jour de séparation les attendait, qu’elle ne le verrait que demain à l’Autel. Après une longue série de tendres baisers ils finirent par se lever bien malgré eux, elle se dirigea vers la commode, s’habilla prestement puis se retourna et vers lui et lui adressa un doux sourire emplis d’inquiétude, ce jour qui approchait l’inquiétait et elle savait très bien qu’il s’en était apperçu, il la connaissait tellement bien.
Elle se résigna enfin partir, elle pris un cheval pour se rendre au plus vite chez son frère, à la seigneurie d’Amotz, elle avait fait livrer la robe et tout les accessoires là bas afin de pouvoir s’y habiller discrètement et surtout arriver au bras de son frère.

Elle arriva chez son frère mais celui-ci avait l’air absent, elle passa l’après midi à essayer une dernière fois sa robe, vérifier qu’il ne manquait rien, décider des fleurs qui composerai le bouquet, le chignon qu’elle ornerais…

Après une après midi bien chargé elle avala quelque gorgé de soupe qu’elle alla manger en cuisine avec les domestiques, elle n’avait pas envie d’être seule mais elle se résigna à se coucher seul dans une chambre inconnue, loin de celui qu’elle épouserait le lendemain.

Elle s’allongea là, dans le noir, essayant de s’endormir, ce qu’elle fit avec difficulté.

[vendredi]

Evalys s’était endormis profondément et c’est le léger soleil du matin qui la réveilla, elle se retourna dans le lit afin de recevoir le câlin du matin et l elle se souvins qu’elle était chez son frère, et que Nil n’était pas là… elle soupira et se leva, enfila rapidement quelques vêtement et déscendit en cuisine, ellle frappa à la porte de la cuisine et c’est une domestique qui lui ouvrit et lui sourit confuse.

B’jour Vicomtesse, messire vo’tre frère dors encore, vous voulez qu’j’aille le réveiller ?

Evalys lui sourit et se dit que ce n’était pas une bonne idée, il serait grognon et pas question de le voir grogner le jour de son mariage.

Bonjour, non non ne le dérangez pas, je vais aller me préparer sa lui laissera le temps de se lever et surtout d’avaler quelque chose.

La domestique fit un sourire entendu, elle devait surement savoir que Dardus était de meilleures humeurs après avoir mangé.

La femme lui emboita le pas vers une chambre où la robe l’attendais sur le lit, le corset aussi ainsi que la coiffe, tout était prêt, elle n’avait plus qu’a se préparer.

Elle commença par se rafraichir puis enfila sa robe avec l’aide de la domestique qui s’appliqua ensuite à lui faire un chignon. Pendant se temps Eva réfléchis à ce qu’il allait se passer, elle allait mêler son destin à celui de Nil, depuis le temps qu’ils en avaient parlé, qu’ils l’avaient souhaitait, maintenant le grand jour était enfin arrivé et cela la rendait très nerveuse. Il est vrai que leur relation n’est pas un long fleuve tranquille mais combien de personnes peuvent se vanter de vivre une telle passion au quotidien ? Elle s’était rendu compte que Nil lui était devenu vital, et malgré ses nombreuses maladresses celle-ci l’aimait plus que tout au monde et elle allait dire « oui » pour le montrer au monde et devant Aristote.

Elle sourit nerveusement, elle se demanda si sa robe plairais à Nil, si les invités allait trouver l’église, si elle n’allait pas bêtement se vautrer… tout un tas de question bien féminine.

Une fois qu’elle fut enfin prête elle se leva et alla s’admirer dans le grand miroir de la chambre, elle sourit à la bonne qui répondit par un sourire de contentement.

Vous voulez qu’j’aille chercher vot’frère maintenant vicomtesse ?

Evalys lui répondit par un sourire nerveux, elle ne lui avait pas annoncé sa grossesse et bien que le tailleur avait fait un miracle avec la robe un petit arrondit discret se laisser voir de temps à autre si elle n’y prenait pas garde. Elle se redressa en se disant que tout cela serait peine perdu car elle est son frère avait un lien particulier qui les unissait, un lien invisible que seul les jumeaux partage et qu’il risque surement de douter de quelque chose avant même de la voir.

Pouvez-vous aller chercher mon bouquet s’il vous plait avant ?

La femme lui répondit par un sourire et parti la laissant seule méditer face au miroir, elle se caressa le ventre pensivement, tant de chose c’était passé depuis qu’elle connaissait Nil et rien au début ne lui avait laissait présager un tel moment, elle sourit se disant qu’elle avait en fait énormément de chance et espéra qu’il en fut de même pour Nil. D’ailleurs il lui manqué et elle avait terriblement envie de le voir, elle détestait toute séparation.

La femme revint quelques instants plus tard se qui la tira de ses songe et lui tendit un beau bouquet de fleurs fraîchement coupé qu’elle prit en souriant.

Merci beaucoup, vous pouvez aller chercher mon frère si celui-ci est réveillé, ou Mira si elle est là bien sur.

La femme sourit de nouveau puis pris congés, elle avait hâte de revoir son frère et sa nouvelle sœur qu’elle n’avait pas revue depuis l’anoblissement de son frère.

Messages : 21 Date d'inscription : 11/02/2012

Le jeudi chez Dardus c’est jour du seigneur ! Mais pas n’importe lequel de seigneurs ! C’est son jour à lui sur ses terres. Le jeudi, c’est tour de sa seigneurie, il parcoure les champs, le domicile, il visite ses serviteurs, il vérifie le potager, il met même la main à la patte... J’ai dit à la patte ? Non dans la patte ! Il mange tout ce qu’il peut l’être, sauf que les pommes de terre pas cuitent ce n’est pas forcément bon ! Que cela n’en déplaise à celui qui essayera.

Donc jeudi, Victor fait le tour de Amotz, il supervise ses serviteurs, il demande à ce que l’on plante de nouvelle plante dans le potager, il vérifie la distillerie, il passe dans la serre s’occuper de ses plantes personnelles. Bon bien évidement jour du seigneur c’est aussi le jour des offrandes. L’arrogance de Victor veut qu’on lui donne comme le dimanche pour la quête. Sauf qu’en bon seigneur pour ses sujets, tout ce que les serviteurs collectent, il ne le garde pas pour lui ! C’est un peu comme un père pour ses serviteurs, il prend tout et fait en sorte de distribuer pour le mieux à tous. Entre guillemet il fait une bonne bouffe avec eux, ils les emmènent même en taverne ! Et c’est ce qu’il fit ce soir-là du jeudi.

Il emmenât tout le monde en taverne sauf deux serviteurs, c’est dernier étant fatiguer, il avait préféré rester à Amotz pour finir les taches, se reposer et tiens pourquoi pas accueillir la sœur de Monsieur ! Soirée arrosée et joie et fête dans les braies la censure veut que nous vous passions les détails de cette soirée et nous nous rendions directement au vendredi matin !

Vendredi matin !

Donc oui vendredi matin, on entendait encore aucun bruit ce matin-là, le soleil se lever délicatement dans les profondeurs de la plaine. La lumière légère venait caresser les bordures du lit de Victor, ce qui devait le réveiller normalement ; seulement ce dernier n’était pas dans son lit. Il était en face de l’embouchure de la fenêtre, il contempler le lever du soleil au loin, qui faisait apparaitre une couleur rougeâtre voir même ocre sur le haut de ses terres.

Il tenait sur deux cannes ce matin-là, personne ne l’avais jamais vue ainsi avec deux cannes. Mais en y regardant de plus près, on remarquât bien vite que Victor ne tenait que sur une jambe… Comment l’expliquer ? Ou était passer l’autre jambe ? Sorcellerie ? Non juste de la médecine traditionnel, Victor avait décidé, ou plutôt avait était contraint de se faire amputer la jambe gauche. Depuis la guerre qui avait opposé le ponant au royaume de France, ce dernier avait était blesser lourdement à la jambe. Tout le monde l’avais vue avec sa canne, sa jambe atrophié, le boiteux que on l’appelait. Manque de chance cette non réactivité dans la jambe commençait depuis un moment à le tourmenter et les douleurs survenaient parfois même en pleine nuit.

Il avait pris la décision de se faire amputer dans son coin, sans l’avis de personne. Lorsqu’il était partit à Paris à l’hérauderie, il avait demandé à un amis de longue date qui était doué pour la médecine de lui faire le nécessaire, ce qu’il fit avec succès. Profitant de ce voyage pour enlever sa jambe, il avait consulté également le meilleur prothésiste de Paris, lui commandant une fausse jambe. Toute ce passât bien et Victor porter désormais une prothèse, sa démarche était non pour autant lente, il marcher même mieux que avec sa jambe lorsqu’elle était atrophié. Seulement la canne était de rigueur et ceux surement jusqu’à sa mort pour éviter tout balancement de son corps et une chute certaine sur le sol.

Ce matin Victor décidât de ne pas mettre sa prothèse directement. Il s’habillât dans ses vêtements les plus simple, une chemise bleue comme toujours, le gilet noir, les braie blanche avec des bas qui était de même… Des bas ? Non un seul bas sur sa jambe droite. Béquille en main il descendit les escaliers, lorsque il vit une de ses servantes monter le chercher vraisemblablement à la demande de sa sœur. Personne ne l’avais encore vue ainsi, les servants se douter de quelque chose pour sa jambe mais pour autant personne ne l’avais encore vue ainsi, il se montré des lors pour la première fois ainsi devant tout le monde.

Il fit un signe de tête à la servante lui faisant comprendre ainsi pour sa jambe et cette dernière ne bronchât pas d’un sil. Il arrivât sur le pas de la porte de sa sœur et toquât promptement en tenant une béquille et l’autre appuyé contre la porte. Puis il la récupérât et dit :
Eva, c’est moi puis-je entrer ?

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Evalys sursauta en entendant frappé et fit un large sourire en entendant la voix de son frère, il était ils allaient finir par être en retard. Elle respira un grand coup et courue lui ouvrir la porte.

Bien sur entre mon frère.

Puis elle le regarda avec un large sourire, sourire qui disparue instantanément quand elle vit que Dardus n'avait plus qu'une seule jambe. Elle devint blème et recula d'un pas, elle fut tant surprise et attristé qu'elle ne fit plus attention à son ventre qu'elle caché avec précaution et baissa la bras qui tenait le bouquet qui caché sa grossesse. Elle le regarda les larmes aux yeux.

Mais... qu'est qu'il t'ai arrivé ? ....ta... jambe....

Messages : 21 Date d'inscription : 11/02/2012

Dardus vit sa sœur blanchir, se sentir mal, commencer à avoir les yeux brillants.. La pauvre n’avait pas l’air bien de le voir comme ça. Il le comprit tout de suite, il s’avançât vers elle la conduisant comme il le pouvait vers le lit

Assis toi Eva

Il ne s’avait pas vraiment comment lui expliquer mais il le fallait. il lui tendit un verre d'eau et un linge pour l'éponger et la calmer un peu

Bon je voulais te voir ainsi, car personne ne m’a jamais vue ainsi même pas mira. Tu te souviens de quand nous avons était protéger la reyne de France lors de la grande guerre. Et bien j’ai était blesser par la suite dans une bataille. J’ai mis du temps à me remettre de la blessure, et la jambe était atrophiée, ce qui me ralentissait constamment.

Quand je suis allé à Paris, j’ai revu un vieil ami médecin et prothésiste, je lui es demandé de m’arranger tout ça. Ce qu’il a fait plutôt bien depuis je n’ai plus de jambe, et je tenais à ce que tu sois au courant un jour ou l’autre et j’ai pensé qu’aujourd’hui serait surement le bon.

Il regardât éva et son ventre.

Et toi tu n’a rien à me dire ?

Messages : 2 Date d'inscription : 15/09/2012

Après plusieurs jours de route, le comte et la comtesse de Comborn arrivèrent à Dax afin de célébrer les noces de leur fils Nil. La route fut bonne et ils posèrent le pied sur le sol assez tôt, ils eurent donc suffisamment de temps pour faire leur toilette et se changer. Comme d’habitude son époux l’attendait patiemment quand elle se présenta à lui en tendant sa man, il lui fit un merveilleux sourire. Marie lui prit le bras sans mot dire, elle était bien trop émue pour cela et le reste de la journée ne l’aiderait certainement pas à la rendre beaucoup plus bavarde. Ils échangèrent un regard complice et se mirent en route pour l’église. Elle constata que le temps serait de la partie, Et qu’il était grand de s’y rendre les cloches sonnaient à toutes volées, l’appel était lancé.

Messages : 17 Date d'inscription : 31/12/2010

Enfin …

Nous y voilà …

Bien que cela ait été compliqué, nous y sommes parvenus, nous avons su tous les deux passer les obstacles qui nous ont si durement barré la route et nous saurons le faire pour chacun de ceux qui viendront ou même reviendront.

Cela n’a pas été facile pour nous deux.
Elle, sans père ni mère, alors que sa seule famille, son frère, ne m’acceptait pas, s’est débattue pour prouver qu’elle ne lâcherait pas aussi facilement la position dans laquelle elle était si confortablement établie.
Moi, qui étais bien résolu à ne pas la lâcher, elle, contre vent et marée, et surtout contre son frère.

Et pourtant nous voilà ici, devant ce magnifique lieu saint où je vais bientôt pour prouver tout mon amour pour elle devant Aristote.

La noblesse a certains bons côtés mais elle en a sûrement bien plus de mauvais.
Concernant cette union par exemple, nous savions bien qu’à notre époque le mariage est plus l’affaire des parents ou des familles, que le consentement mutuel n’a presque aucun poids, que seule compte la perspective de « faire un bon mariage » qui augmentera le prestige de la famille tout entière.

Bon, je ne suis pas né de la dernière pluie non plus et puis, mon père, mon mentor, c’est tout de même le premier Duc de Gascogne !

L’intérieur de la Chapelle de Dax se trouvait déjà bien transformée la veille de notre union. Quelques bons gens de chacune des familles avaient mis la main à la patte pour que ce jour soit le plus beau de leur vie, car il n’arrivait qu’une seule fois bien sûr, pour peu que sa future soit féconde mais de cela, il n’en doutait certainement pas. Ils avaient interdiction de s’y aventurer avant le jour J et pire, ils avaient interdiction de se voir durant la journée précédant leur union. La journée précédente, oui, mais celle d’avant …

[Jeudi matin]

Elle se réveillait doucement lovée tout contre lui, deux ou trois bruns de soleil filtrant par la fenêtre venaient caresser la peau dénudée de son épaule. Profitant de l’instant, il vint frôler son épaule pour lui déposer un baiser et c’est avec un sourire quelque peu triste qu’il l’accueillit pour cette journée sans elle.

Cela ne serait pas la première fois qu’ils ne se verraient pas de toute la journée mais bien la première où ils soient obligés de ne pas se voir. Et bien évidemment, ils seront surveillés au grain pour éviter un quelconque rapport. Comme piètre excuse, ils se trouvaient de toutes les manières bien occupés à se préparer pour le lendemain.

Un bien être l’envahit doucement, un brun d’excitation, et c’est avec cette agréable pensée que le sourire devint sincère. Dehors le soleil commençait tout juste à entamer sa course folle pour cette journée chargée. Il ne fallait donc pas trop tarder. Hésitant à quitter la couche, la température se faisant de plus en plus fraîche le matin, il remonta les draps.

Eva maintenant bien réveillée le regardait attentivement, cette petite, toute petite ride soucieuse ou sévère selon l’humeur apparu au dessus de son joli nez. Bien évidemment, Nil comprit pourquoi. C’était donc avec un soupire non contenu qu’il repoussa les draps et se leva. Elle en fit de même et chacun se prépara pour quitter l’autre.

Après tant et tant de baisers, comme s’ils n’allaient plus se voir pendant plusieurs mois, ils finirent par se séparer sur le pas de la demeure. Retour au calme, la porte close, Nil lâcha de nouveau un soupire exagérément prononcé avant de se mettre à l’œuvre puis Eva alla rejoindre son frère.

La matinée était déjà bien avancée lorsqu’il eut terminé les essayages de son costume. Une fois encore, ce devait être sacrément avantageux de ne pas être une femme ; les essayages traineraient en longueur, sans compter la coiffure et les apparats… Il l’enviait un peu. Lui se retrouvait seul à ne rien faire pendant toute une après midi.

Trainant ça et là, cherchant à s’occuper comme il le pouvait, il passa involontairement près de la chapelle. L’accueil qu’il reçut était aussi digne que la présentation extérieure de la chapelle : extraordinaire !!
Les quelques gens l’ayant aperçu se sont précipités sur lui et l’on expulsé du lieu en un rien de temps ! Mais, heureux, il avait réussi à en tirer un petit avant goût.

Le soleil déclinait lentement. C’était dans ce genre de moment que l’on ne pouvait que constater que l’année était bien avancée, les journées de plus en plus courtes et les températures de plus en plus froides. D’un pas lancinant, Nil rentra chez lui, perdu dans ses pensées, où un léger souper l’attendait.

La question que tout homme peut se poser lorsque, par chance, il s’agissait d’un mariage d’amour :
«Sera-t-elle là demain ? »

Cette question, il avait beau la balayer de son esprit, elle revenait au galop le hanter.
« Bien sur qu’elle sera là ! Pourquoi ne le serait-elle pas ! Et puis … je l’aime … elle ne pourra qu’être là, oui c’est sûr !»

Il toucha à peine aux différents mets présentés sur la table et préféra monter se coucher. Peut-être qu’en dormant, ses craintes, ses doutes, tout cela s’envolerait.

Le sommeil fût difficile à trouver. Nil tournait et se retournait sans cesse dans cette couche vide. L’odeur de ce matin traînait encore quelque peut sur les oreillers. Une odeur de fleurs, la composition florale qu’il lui avait offerte. Il n’y avait pas vraiment porté attention mais, même quasi imperceptible maintenant, il s’en rendait compte et cette odeur l’envahit pleinement. Si bien qu’elle finit par le calmer et le plonger dans un rêve plein de douceur où sa bien aimée le retrouvait au pied de l’autel.

L’autel ?!

[Vendredi matin]

Réveillé en sursaut aux aurores et d’une bonne humeur à toute épreuve, il sortit du lit, s’arrangea le facies et sauta dans son horrib … hum … magnifique costume, prêt à dire OUI !

Prêt avant même que les domestiques le soient, il se rendit enjoué à la Chapelle où il allait retrouver sa belle. Du moins, pas de suite. Il fallait tout d’abord agir en hôte respectable et recevoir les convives, amis comme connaissances. Il avait hâte d’y retrouver son témoin, qui n’est autre que Riwenn, ancien Duc de Gascogne, qui attestera de l’union entre lui et sa magnifique femme.

C’est donc sur le parvis qu’il retrouva ses parents, Ursin et Marie de Lasteyrie, qui avaient su faire preuve d’une grande gentillesse et d’une grande bonté envers lui, ce qui lui permit de devenir l’homme qu’il était.

Nil monta les marches du parvis tout ému en voyant sa mère et son père puis pris sa mère dans ses bras :

Bonjour Mère, vous êtes sublime… Ce la me fait plaisir de vous revoir.

Il se retourna vers son père et hésita dans un premier temps à le prendre dans ses bras. Avec un petit haussement d’épaule discret, il profita de l’occasion pour le faire.

Qu’à cela ne tienne, celle qu’il avait le plus envie de retrouver c’était l’ange sur qui il veillera jusqu’à la fin de leur vie.

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Evalys se laissa conduire près du lit et s'asseya, elle le vit prendre soin d'elle et lui expliquer qu'il pensait que c'était le meilleur moment selon lui pour lui annoncer ce drame, elle resta là, elle aurait voulu lui dire que c'était le pire moment en fait, qu'elle ne savait même pas si elle arriverait à sourire tant le voir ainsi la blessée.

Elle fut sorti de ses pensées par sa dernière question.

Citation :: Et toi tu n’a rien à me dire ?

Elle esquissa un léger sourire et sentit le rouge monter à ses joues et pose instinctivement sa main sur son ventre.

Oui Dardus... tu vas être Tonton, mais il faut que cela reste entre nous pour le moment.

Elle le regarda guettant sa réaction.

Messages : 21 Date d'inscription : 11/02/2012

Victor sourit à pleine dent, non pas qu’elle était belle mais cela lui faisait plutôt plaisir d’apprendre une nouvelle pareil. Qui ne le serait pas ? Les jaloux par excellence surement, lui il était heureux pour sa sœur. Il prit sa pipe dans la poche intérieure de son gilet, qu’il bourra de tabac. Il prit par la même occasion une des bougies du chandelier posé près du lit et allumât sa pipe. Il prit une grande bouffée et la savourât en son être puis recrachât délicatement la fumée dans la direction inverse à Eva.

Tu sais je suis heureux que tu m’apprennent tel nouvel, Walter me disais qu’il avait remarqué que tu prenais du poids, je me douter bien de quelque chose, je n’étais pas comme lui à penser que tu manger en cachète.

Il rit et tira une nouvelle bouffée de tabac

Si j’ai choisis de me montrer ainsi devant toi, c’est pour te dire une chose ; sache tout d’abord que j’apprécie Nil. Nous avons était amis longtemps avant que nous nous retrouvions toi et moi. Nous avons travaillé ensemble non seulement pour Dax mais aussi pour la Gascogne. Le seul point ou sa a divergé, c’est pour nos implications au sujet du royaume. Quand la grande guerre à éclater nous somme partit toi et moi pour protéger la Reyne. Nil n’avait pas voulu nous accompagner, il rester en Gascogne pour travailler, je ne lui en voulais pas loin de là.
Mais lorsque j’ai était blesser j’ai regretté qu’il ne soit pas là, il aurait pu être là en tant que amis pour me protéger, mais je ne lui en tien plus rigueur il aurait pu risquer sa vie lui aussi. Ce n’est pas grave désormais de l’eau à couler sous les ponts. Je suis heureux que tu te marie, et j’espère qu’il saurât t’être un bon guide, un bon mari et un bon protecteur pour toi.

Victor en oubliât de tirer sur sa pipe à force de parler, il prit une nouvelle bouffée.

Désormais tu sais ce qui m’est arrivé et tout ce qui a fait ces tension, mais cela est passer, désormais je suis heureux pour toi et j’espère que tout se passera bien pour vous.

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Eva sourit à son frère heureuse de voir qu'il prenait sa bien tout en se disant qu'elle devrait étrangler Walter, comme s'il en se goinfré en cachette...

Je suis heureuse que tu le prennes ainsi, et n'ai crainte Nil va être un merveilleux époux et un merveilleux père n'en doute point. C'est quelqu'un d'unique et j'ai de la chance, énormément de chance aujourd'hui.

Pour Walter je trouve qu'il est un peu insolent, moi manger en cachette non mais.

Elle ria doucement, un peu nerveusement, toute ses émotions ne l'aidé pas à ce calmer.

Tout iras très bien... du moins sa serai le paradis si tu arrêté de fumer cette pipe.

Elle ria et lui pris le bras avant de lui murmurer.

Tu aurais du me dire que tu étais si mal, je serais venu de suite.

Messages : 5 Date d'inscription : 15/09/2012

On était vendredi matin,le mariage avait lieu ce jour et Mira qui avait préféré laisser Dardus partir d'abord sans elle afin qu'il puisse retrouver calmement sa soeur qu'il n'avait pas vue depuis longtemps, arriva en la propriété de son compagnon tôt dans la matinée.

Elle pris soin de la monture qui lui avait servie à faire le voyage, puis pénétra dans la demeurt afin de se préparer, car mine de rien être la demoiselle d'honneur de sa belle soeur ce n'était pas rien. En effet, cela faisais peu de temps qu'elle était entrée dans la famille, il fallait donc qu'elle fasse bonne impression aux personnes qu'elle ne connaissait pas, comme le marié par exemple..

C'est pourquoi elle voulu donc se diriger vers la chambre où les habits qu'elle devait porter avait du être déposées, pour être aussi jolie et présentable que possible.
Néanmoins, en chemin elle croisa une domestique qui lui fit part du fait qu'Evalys avait demandé à voir soit Victor soit elle et qu'au final Dardus étant présent en premier, c'était donc lui qui avait répondu à cette demande.

Cependant, Mira curieuse de nature ne pu s'empêcher d'avoir envie de voir à quoi ressemblait la marié dans sa robe qui devait sans nul doute être superbe. De plus, elle avait une irrésistible envie de retrouver l'homme qui partageait sa vie, de le prendre dans ses bras et de déposer un tendre baiser sur lèvre tant il lui avait manqué depuis son départ. Elle se décida donc à changer d'itinéraire et donc à se rendre dans la chambre où se trouvait les deux personnes qu'elle souhaitait voir par dessus tout. Ainsi, elle demanda à la charmante domestique de la conduire dans la pièce où se trouvaient le frère et la soeur. Ce que la femme fit avec le sourire.

Une fois arrivée devant la porte la jeune blonde remercia la servante, frappa à la porte, pris soin de s'annoncer puis attendit une réponse, afin bien sur de ne pas interrompre une conversation ou bien de tout simplement être sure de ne pas dérranger les retrouvailles d'Evalys et de Dardus.

Euh.. Excusez moi de vous dérranger c'est Mira, je vient tout juste d'arriver et je souhaitais venir vous voir avant de me préparer au grand évènement qui nous attend aujourd'hui enfin surtout toi Evalys.. Puis-je entrer ? Ou souhaitez-vous que je vous laisse profiter encore un peu l'un de l'autre et que je repasse plus tard, peut-être ?

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Evalys sursauta quand elle entendit frapper et sourit en entendant la voix de Mira, elle jeta un regard à Dardus en soupirant tant son état la faisait souffrir, elle alla ouvrir la porte en arborant un beau sourire, du moins le plus beau qu'elle pouvait offrir puis fit la bise à Mira.

Bonjour Mira,
Je suis très heureuse de te revoir, tu ne nous dérange absolument pas.

Elle se poussa de côté afin de pouvoir la laisser entrer, elle devait avoir envie de voir Dardus ce qui était tout à fait normal.

Mais je t'en prie entre.

Messages : 21 Date d'inscription : 11/02/2012

Dardus regardât eva, il fit ni une ni deux et sauta par la fenêtre, tout en précisant a eva que il n'étais pas la.

Ce dernier sautant par la fenêtre ne tombât non pas sur le sol pour se casser une autre jambe mais dans une botte de foins. Il partit ensuite mettre sa fausse jambes.

Messages : 5 Date d'inscription : 15/09/2012

Mira sourie en voyant Evalys dans sa belle robe, mais elle sentait une sorte de malaise et un sourire qui ne lui semblais pas très naturel de la part de sa charmante belle soeur.. Cependant, elle se dit que ce devait être la nervosité de ce si grand jour qui donnait cette impression. Puis elle vit Evalys se mettre de côté pour la laisser entrer, elle observa l'intérieur de la pièce et ne vit pas Dardus, on lui avait pourtant bien dit qu'elle le trouverais ici en la présence de sa soeur..

Eh bien.. Victor n'est pas là ? On m'avait pourtant dit que je le trouverais ici en ta présence.. Tempis je le verrais plus tard. Le lus important pour le moment c'est de savoir comment tu vas toi ?! Pas trop nerveuse ? En tous les cas tu es magnifique!

Puis après après avoir prononcées ces quelques paroles, elle se permit de s’asseoir sur le lit présent dans la pièce afin de discuter un peu avec la future mariée.

Fidèle Messages : 100 Date d'inscription : 08/07/2008

C'est un oiseau ? c'est un avion ? Non, c'est Super Riri !

[Mariage - R] Evalys et Nil Lecomt10

Vestu d'une de ses plus belles tenues d'apparat aux couleurs de son Comtat de Pardiac, Riwenn descendit de son carrosse qui l'avait mené d'Aush à Dacs et entra dans l'édifice. Il salua le prestre déjà présent qu'il avait déjà eu l'occasion de croiser par le passé.

Le sourire qui lui signait les lèvres s'élargit quand il aperçut Ursin, Marie-Antoinette et Nil.

Vous iceluec ? demanda-t-il taquin comme toujours. Cela me faict réellement plaisir que de vous trouver. Les cloches résonnaient encor au travers de la ville mais l'église estait miraculeusement calme et silencieuse. Cela faict si longtemps que je n'avais pas mis les pieds en Gasconha, et encor davantage en cette cité. L'air de l'océan est toujours un véritable délice, mesme si l'on le sent moins qu'à Baïona. Réplique inutile ? Sans doute, mais cela faict de la lecture en plus à vous lecteurs !

Où sont donc les futurs épousés ? finit-il par demander, laissant un regard circulaire envahier en vain les lieux.

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Evalys sourit à Mira maudissant Dardus de l'avoir laissé dans cette situation, elle suivit Mira jusqu'au lit et s'assied près d'elle.

Oh que si je suis nerveuse, j'ai toujours peur d'oublier quelque chose, et je me demande si Nil va aimer ma robe... enfin... les choses normales je pense.

Elle rit nerveusement puis se lève de nouveau.

Si nous nous préparions nous irons ensuite chercher Dardus si tu veux.

Elle lui sourit espérant qu'il soit près aussi, elle avait peur d'arriver en retard.

Messages : 21 Date d'inscription : 11/02/2012

BLAM! BLAM! BLAM!

Et sa y est Dardus taper de la canne contre le sol au rez de chaussé! Il avait mit en on ne sais combien de temps sa fausse jambes, son mantel d'apparat par dessus son gilet, les bottes noirs, tout sauf le chapeau. IL ne porter plus le chapeau, mais il garder sa canne comme toujours dans la main gauche. Une canne couleurs argentée avec une tête d'aigles en guise de pommeau. La démarche froide comme toujours..

Mes Demoiselles! On se dépêche de rejoindre le vieux en bah et on file au mariage de la vieille!

Il réfléchit..

Non le mariage de ma soeur pardon! On accélère! Bah oui sa soeur était pas vieil ils étaient jumeaux elle et lui, bon certes lui faisait plus vieux mais en disant qu'elle était vieille, il le disais pour lui aussi, alors bon!

Walter!!!!!! Vas me chercher les chevaux et le carrosse! Et je te préviens que si il est pas prêt comme je le voulais sa vas gueuler!

Messages : 34 Date d'inscription : 17/10/2010

Héloïse et Crevecoeur avaient reçu l'invitation quelques temps avant. Ce matin là, ils laissèrent donc les clés de la propriété au père d'Héloïse, puis chevauchèrent jusqu'à Dax.
Arrivés sur le parvis de l'église, ils laissèrent leur monture contre quelques deniers à un gamin qui attendait de voir arriver la future mariée. Heloise remit de l'ordre dans sa tenue avec l'aide de Crevecoeur
La famille de Nil était là, Héloïse reconnut quelques têtes mais elle savait que Crevy n'en connaissait encore moins qu'elle. Ils saluèrent donc en premier le futur marié.

Bonjour Nil,
Je suis vraiment heureux d'avoir reçu cette invitation. Je te souhaite une bien belle journée et une magnifique cérémonie.
Voici Crevecoeur, mon compagnon.

Crevecoeur à son tour salua le futur marié, et le remercie pour son invitation.

Messire, enchanté de faire votre connaissance en un si grand jour.

Puis les deux basques saluèrent poliment les parents du marié, ainsi que monseigneur de Castel Vilar.

Ils allèrent ensuite saluer le père Endymion.

Messages : 5 Date d'inscription : 15/09/2012

Mira avait mis du temps à se préparer, enfin non elle n'avait pas mis tant de temps que ça mais bon, elle était en retard comme à son habitude. Cependant, il était de son devoir de ne pas perdre trop de temps aujourd'hui, c'est pourquoi elle se dépêchât de mettre les dernière petites touches afin d'embellir son visage pour aller rejoindre son compagnon qu'elle entendait grogner du bas de la maison.
Une fois arrivée en bas, elle fit un tendre mais discret baiser à Dardus qu'elle n'avait pas vu depuis un petit moment. Puis elle attendit sagement que tout le monde soit près afin de pouvoir enfin entrer dans le carrosse et prendre route vers l'église où les invités devaient surement n'attendre qu'une chose, l'arrivée de la mariée.

Et bien nous allons pouvoir y aller je pense et je propose si vous le voulez bien d'entrer en dernière dans le carrosse afin d'en sortir la première pour annoncer la mariée et son frère à l'arrivée devant l'église. Enfin après cela n'est qu'une proposition, Evalys il est de ton ressort de me dire ce que tu pense de mon idée et ou ce que tu souhaite que je fasse pour toi.

La jeune femme prononça ces paroles avec aisance, un grand sourire aux lèvres et en s'adressant tout particulièrement à la mariée en personne.

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Evalys avait sursauté à l'appel de son frère et Mira se prépara rapidement, Evalys la trouva très belle paré ainsi, et sans dire mot elle courru elle aussi rejoindre son frère devant le carosse, elle sourit en entendant Mira proposer une idée fort intéressante.

Tu as raison Mira, faisont comme cela. Heureusement que tu y penses, j'avoue ne plus trop réussir à penser là.

Elle sourit à son frère, un sourit emplis d'inquiétude et de tristesse qu'elle ne pouvait lui dissimuler et monta dans le carosse. Ils devaient avoir vue tout deux que la peur d'arriver en retard commençait vraiment à l'envahir et elle devenait impatiente comme une enfant qui attend un gâteau. Bon la comparaison est étrange mais Nil est pour elle comme une sucrerie qui embellie sa vie, et puis dans son état elle ne pensait qu'a sa, manger ! D'ailleurs elle pensa au repas, c'est qu'elle avait faim malgré tout.

Puis Eva se tourna vers son frère et sa belle-soeur.

Nous y allons ?

Messages : 3 Date d'inscription : 18/09/2010

Ils avaient fait le trajet depuis les Pyrénées, la Marquise, leur chère fille et le Marquis.
Voyage crevant.
Mais cela ne saurait ôter le plaisir de retrouver le famille du côté Lasteyrie et Duranxie, à Dax, partie du Gégé national.
Déjà que se repérer dans sa propre famille "élargie" c'est pas simple, mais là pour le coup il ne connaissait pas encore la belle-famille.

Alors lui de son côté Wittelsbach/Foscari il est le beau petit fils d'Ursin, donc le cousin ou le tonton du marié. Et pourtant plus vieux que lui, c'est pas simple vous voyez, je vous l'avait dit !

Bref, ils arrivent et saluent les convives déjà présents.

Messages : 1 Date d'inscription : 22/09/2012

BM, perdue au milieu de tant de gens inconnus, se raccrochait à sa mère et regardait son père avec admiration, lui qui s'avançait gaillardement au devant des présents.

Il avait une telle prestance qu'il semblait chez lui en tout lieu et là, il partait à l'assaut, les laissant à l'arrière. Marievictoire, pour sa part semblait retrouver quelques couleurs estompées par le voyage éprouvant, mais la joie de retrouver sa famille la faisait revivre. Et le verre d'eau que lui tendit un laquais acheva de la remettre d'aplomb.

Allons ma fille, allons trouver Nil et lui présenter nos voeux.

Messages : 5 Date d'inscription : 15/09/2012

Mira observa se belle soeur et lui répondit:

Oui, en avant c'est partis pour votre grand jour à toi & Nil.

Elle entra dans le carrosse qui parti tout droit en route vers l'église où la cérémonie n'allait pas tarder à commencer. La jeune blonde tenta de faire rire un peu Evalys qui paraissait ma foi fort stressée.. Elle fit ce qu'elle pu jusqu'à ce que le carrosse s'arrête totalement. Cela voulait donc dire que l'on était arrivé à destination et comme prévu, Mira pris l’initiative en descendant la première du véhicule afin d'annoncer l'arriver de la magnifique mariée. La jeune femme monta donc sur un banc qui se trouvait à proximité de là où c'était arrêté la carrosse, pris sa plus clair et grosse voix et s'adressa à l'ensemble de l'assemblée qui était déjà arrivée devant l'église.

Mesdames, messieurs, bonjour. Vous ne me connaissez surement pas, je me présente je me prénomme Mira et je suis la demoiselle d'honneur de notre très chère mariée. Je me permet de prendre la parole pour m'adresser à vous et ce afin de vous annoncer l'arrivé de la magnifique et jeune mariée Evalys et de son frère chargé de l'accompagner à l'hôtel. Je vous conseil donc de regarder par là (Mira montre le carrosse) afin de pouvoir admirer la beauté de la femme du jour qui est vraiment plus qu'éblouissante.

Elle finit son discours avec un immense sourire aux lèvres et fière de l'annonce qu'elle venait de faire.

Messages : 21 Date d'inscription : 11/02/2012

Et alors on me présente pas moi ?!

Bah oui quand même on a oublié, de dire qui était le frère de la marier. Victor de la Rosas seigneur de Amotz dit Dardus !! Je vous prie !! Non plus sérieusement au moins Dardus aurait était suffisant, mais cela passons.
Il descendit d’abord le pied gauche accompagné de sa canne du carrosse et ensuite il passât à l’autre jambe tout en tenant dans a main droite sa sœur par le bras. Il la fit descendre comme il put en tenant sa canne toujours dans la main gauche.

Bien avançons pour te présenter ma grande !

Messages : 26 Date d'inscription : 26/07/2011

Evalys rougit en entendant Mira, déjà qu'elle était nerveuse, là tout le monde allait la regarder, elle respira un grand coup pour se calmer quand elle entendit son frère rétorquer se qui la fit rire, il est vrai qu'il n'aimais pas qu'on l'oubli et c'est avec un sourire crisper qu'elle se laissa entraîner par son frère hors du carrosse. Elle resta là, impressionnée, le bouquet devant son ventre, cherchant du regard l'homme qui éclairais ses jours et ses nuits, enfin qui lui manquait terriblement surtout là.

Elle lança un petit Bonjour à peine audible aux personnes qu'elle croisait du regard.

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