[Mariage - R] Maelya Castel Vilar et Yannig Von Wittelsbach

[Domaine de la Duranxie,Irmaburia]

Dans le petit matin, très tôt, la jeune Sarah s'éveille, puis se prépare avec une belle robe bleue nuit, puis se coiffe comme une grande et part dans le châteaux a la recherche de son Oncle...

Amaniu !!!! Ou êtes vouuuuuuuuuuuuuuuuss???????????

La jeune rouquine chercha partout le domestique, qui finit par se présenter a elle, avec une joue qui semblait un petit peu rougie...

Oui jeune Sarah, que puis-je pour vous?

Et bien je cherche mon Oncle et je ne le trouve nul part, aussi j'ai pensé que vous devriez savoir où il se trouve n'est-ce pas?
Si oui voudriez vous avoir l'obligeance de me conduire a lui?
J'aimerais le voir un peu...

Et le domestique de répondre, un petit peu amusé par la situation...

Il est partit au mariage de sa fille, Dame Maelya, aussi si vous voulez le rejoindre il vous faudra faire très vite, car je crois que la Cérémonie a déjà commencer...

Sarah poussa un petit crie d'effroi, elle qui avait promis a Riwenn d'être présente pour ce mariage, et voilà qu'elle allait arriver en retard..
Ni une, ni deux, elle partit vite aux écuries et enfourcha sa jument Caline, puis fonça au galop vers Auch, espérant ne pas arriver trop tard et avoir tout raté...

[Rendue a l'Eglise]

Sarah arrive juste a temps devant l'église, voyant encore une ou deux personnes entrer a l'intérieur, aussi en tentant de reprendre son souffle, elle pénétra dans la bâtisse, se recoiffant légèrement, puis essayant de se repérer dans la salle, d'où l'émotion était déjà palpable, ce qui fit sourire la jeune femme..

Elle repéra son Oncle qui semblait être assis, et alla vite le rejoindre, prit place a ses côtés, puis lui sourit tendrement en guise de bonjour, et efin, elle porta son regard sur la mariée....

[Quand festivites riment avec surprise....]

Enfile un gant, puis un autre, doigt après doigt, il se couvrait les mains. Mettre la première botte, puis la seconde, il était encore en son castel de Came, à finir de se préparer. La chambre profitait des quelques rayons de soleil en cette période de l’année, laissant présager a travers les baies vitres, la venue prochaine du printemps… Buches craquantes dans la cheminée, son fidele secrétaire était a ses cotes à tenter de capter son intention en lui résumant les dernières nouvelles du vicomte.

Monseigneur, vous m’écoutez ?

La tète de louis Philippe relevant son regard sur l’état de ses bottes, il le regarda rapidement avant de se prendre la direction de son bureau, sortir une bouteille et se verser une rasade.

Oui bien sur que je t’écoute, les nouvelles sont fortes réjouissantes et j’ai bon espoir que l’hiver sera plus clément que prévu…. Dans tous les cas, nos réserves sur Came sont suffisantes, bien que récentes, les mains de Bidache devrait suffire pour ce premier hiver, quand a St Pé, j’ai toute confiance en notre vassal.

Seconde rasade, le nectar humidifiant le palet… Quant a Sames, je te charge de veiller dessus en attendant leur venues… il posa le verre et prit son mantel… Bon il est temps, fait préparer les montures, nous devons récupérer Biscarosse à Labrit avant de rejoindre Auch, puisqu’encore une fois des gascons se marient en Guyenne…

Louis Philippe soupira devant ce constat, tandis que son secrétaire acquiesça et alla transmettre les consignes…

Apres avoir fini de se vêtir, traverse le castel, rejoins la cour, il prit monture, dernières consignes a son secrétaire, fait rappeler a mon fils qu’il est attendu au mariage de son frère, et qu’il est appelle a me rejoindre en route il partit au galop, escorter par sa garde rapproche.

Apres deux jours, de traverse de la campagne gasconne, évitant de perdre leur temps en Dacs et Lo Moun, ils arrivèrent à Labrit. Montures envoyées au maréchal ferrant le temps de l’escale, le Vicomte partit en quête de la Vicomtesse. Un tour vers la mairie, il ne la trouva point, une visite chez les tailleurs, l’un deux lui confirma sa récente présence, et l’adresse ou il lui avait fait porte sa dernière robe. Il était simple de la retrouver, il la connaissait trop bien… la fin de journée arrivant, il envoya son escorte en une auberge, et alla se faire annoncer auprès d’Estradie.

Le lendemain matin, l’aurore se levant, ils se mirent en route pour Auch. La météo clémente, ils purent avancer à bonne allure, et profiter de la bonne ambiance à rejoindre les festivités. Plus il s’approchait de la citée, plus la joie de voir son fils prendre épouse lui chauffait le cœur. Il avait pu rencontrer sa future bru il y a peu, et avant pu apprécier les gouts de son premier, même s’il n’en avait jamais doute.

Auch, en vue, ils rejoignirent la cathedrale, les gardes déblayant les piétons en se frémissant un passage parmi la foule, a faible allure, les montures nerveuses, devant cette agitation, simplifiant la tache…

Apres avoir confie les montures à l’escorte, le vicomte délaissant même son épée, tout en gardant son poignard on ne sait jamais, Came et Biscarosse s’amenèrent sur le parvis, ou il y avait déjà foule. Leger soulagement qu’ils ne soient pas en retard, il commença à entrevoir un a un les présents, dont les futurs maries grimpant les marches.

Regard vers sa sœur, esquissant un léger sourire, son regard se posa ensuite sur sa fille accompagnée de Damian, tenant apparemment le petit bambin, il ne l’avait encore jamais vu, et n’avait échangé qu’un courrier avec sa fille depuis son départ pour l’Armagnac. Il s’approcha des deux,

Messire Damian, mes salutations.

Ma fille, il vint lui faire une bise sourire aux lèvres, chuchoter. Je suis ravi de te trouver en ci lieu, nous aurons beaucoup a nous dire, une fois ces festivités finies,

Regard vers son petit fils, les yeux pétillants, il sentit une ride de vieillesse sortir de son front… Il éclata de rire, Il a tes yeux, ma belle.

Mais revenons à nos moutons et à la raison de sa présence en cette cathedrale guyennaise, il lui fallait trouver Bidache, et Donistiri s’assurer que tout était prêt avant d’entrer.

Après mainte discution Lyrielle vit son père arrivé. Elle était nerveuse,ils ne s'étaient pas parler depuis un moment enfin, depuis qu'elle avait averti de l'arriver de son petit-fils. Elle le vit avancer vers elle, c'est comme si tout les autres avaient cesser de bouger et que lui marchait d'un pas lent. Elle sentait sa nervosité monté, qu'allait-il dire, ou faire? Le petit se mit à gigoter, Lyrielle lui posa un baisé.

T'inquiète il est pas mauvais ton grand-père.

Elle savait qu'a quelques semaines il ne devait rien comprendre mais dans certaine solitude du moment à la maison, elle avait appris à lui parler.
Puis, son père sourit et lui posa un baisé à son tour, le même baisé qu'elle donnait à Éloi, cela la fit sourire. Son père l'aimait toujours comme un parent, elle en fût rassurée.Elle lui rendit.

Citation :

Je suis ravi de te trouver en ci lieu, nous aurons beaucoup a nous dire, une fois ces festivités finies,

Petit frison froid dans le dos, ça elle n'y échapperait pas... Puis les yeux de son père en dirent long sur les pensées de son père lorsqu'il posa son regard sur Éloi. L'éclat de rire enleva tout reste de méfiance le plus difficile était passé. Ils avaient fait courte connaissance.

Tournant quelque seconde la tête, voyant les gens se remettent en marche et son frère entrée, elle savait qu'elle devait suivre.

Il est temps d'entrée,je crois, papa.

Ah l'amour !

De plus en plus de monde arrivait. De la famille surtout.

Riwenn se permit de prendre la parole alors que les deux tourtereaux se regardaient comme deux amoureux transis bloqués dans les gestes par leur émoi.

Yannig, auriez-vous crainte à prendre la main de vostre aimée ? Sourire qui se voulait taquin suite auquel il posa la main de sa fille, paume ouverte vers le ciel, sur la sienne, et la tendit vers le fiancé.

(hum pourquoi tout le monde entre ? On est encore sur le parvis )


Yannig s'approcha avec crainte de Maëlya en regardant son beau père.

Vous êtes sur que je peux votre Grâce ?

Riwenn avait l'air sûr de lui, et Maëlya mourrait d'impatience qu'il lui prenne sa main. Il ne savait pas vraiment ce qu'il devait faire aussi décida-t'il de suivre leurs instructions. Il prit la main de son aimée dans la sienne, paume ouverte vers le haut, la main de Maëlya reposant avec légèreté dans la sienne.

Il ne regardait qu'elle durant la montée des marches, ses jambes avançant indépendamment de son cerveau obnubilé par le visage angélique et les long cheveux bruns de Maëlya.

Ils entrèrent dans la cathédrale suivis de leurs invités, sa tante Kassandra ouvrant la marche.

Pas carrosse, pas de robe, pas de couronne, pas de tralala, elle voulait pas se faire remarquer, éviter de devoir saluer tout le monde, éviter de croiser les regards, éviter les faux semblant.

Le trajet avait été long, plein de réflexion.

Le coeur à ses raisons, pourtant elle s était promis de plus voir certaines têtes, mais sa fille de cœur lui avait écrit, presque supplier de venir, longtemps elle avait réfléchi

Elle se posa loin de l'église, et de loin regarda tout le monde, elle attendrait que tout le monde rentre avant de se présenter à l'église

Elle caressa son cheval en regardant Mael, elle était magnifique, les larmes lui venaient aux yeux,elle sentait une fierté dans son cœur. Son regard se pencha sur yannig qui était rayonnant , un sourire se dessina sur ses levres et un soupire s'échappa de ses levres.

Voila, ils sont enfin réunis, je suis heureuse pour eux.

Une fois que le cortège commença à entrer, Riwenn regarda le couple puis s'approcha de Came.

Heureux de vous voir Came. Il faudra que je vous présente mon épouse, fille du Coms Ursin. lui glissa-t-il sans pour autant lascher les futurs mariés. Tout est-il prest ? s'assura-t-il.

petit regard vers sa fille... il vint lui deposer un nouveau baiser sur la joue,

oui, il est temps, attends moi un peu, nous rentrons ensemble si tu veux bien encore du bras de ton gateu de pere?


petit sourire, il se tourna ensuite vers Riwenn, et regarda son epouse, legere reverence envers la dame

Comtessa, votre pere m'avait cache avoir eu si belle fille, mais cela ne m'etonne guere... il jeta un coup d'oeil rapide vers Biscarosse, la beaute etait reyne chez dans cette famille... de retour dans le vif de l'action.

Oui mon ami, il me semble que tout est bon, je cherchais justement mon fils pour me le faire confirmer.

Elle commençait a s'agiter sur son banc regardant tour à tour la porte de l'église et son frère sur le premier rang ,elle ne savait même pas qui on marié .... elle se retrouvait dans une situation absurde encore par la faute de Damian ......

Elle avait beau regardait dans l'assemblé elle ne connaissait personne pourtant ses parents étaient sur le parvis.... elle se gratta le front comme pour mieux réfléchir quand elle ouvrit ses deux grand yeux bleu une ampoule aurait bien pu apparaitre au dessus de sa tête .

Son Pay lui avait dit qu'il mariait sa fille ....oui ça parait étrange comme situation mais bon ... voila donc la raison du rassemblement de la famille ,elle se leva preste a partir elle n'avait pas été invité elle ne connaissait même pas les marié ...il fallait vraiment qu'elle arrête ses boutades ...

Yann qui était déjà en place devant la grande porte, vit arriver le Duc de Saint Esteben et le Vicomte de Came.

Il descendit les marches et s'approcha d'eux afin de les saluer.

"Bonjour père, désolé pour le voyage mais j'avais des affaires pressentes à faire ici même avant que tout le monde arrive...."

Puis se tournant vers Riwenn

"Mais il n'est point bon de s'étendre sur le sujet de suite...les autres comprendrons bien assez vite...."

LA VEILLE DU MARIAGE

Laureen avait confier les clefs de la mairie a Percius qui la remplaçais très bien pour les affaires courantes lors de ses absences.

Elle se devait d'assister au mariage de Yannig et Maelya en tant qu'amie du futur couple.
Cooljazz ferait route avec elle pour sa sécurité et l accompagnerais a la cérémonie de mariage

Tout deux avaient quitté Mimizan aux premières lueur de l'aube.
Ils avaient chevauchés cotes a cotes toute la journée ne s'arrêtant que pour le casse croute et un peu de repos.


Dès que les murs de la ville se profilèrent a l'horizon, ils se mirent a la recherche d'une auberge hors de la ville pour y passer une nuit calme, ce débarrasser des poussières de la route et se restaurer.

L'hiver encore bien présent, ne permettais pas un bain dans la rivière la plus proche, ni l'utilisation des buissons en guise de paravent.

LE JOUR DU MARIAGE

Apres une nuit réparatrice et un brin de toilette ils revêtirent leurs plus beaux atours, confectionnés pour l'occasion même.



Ils allaient sortir quand l'aubergiste leurs barras le passage

- Holla les tourtereaux dit l'aubergiste au fort accent du nord.

-Dji vas vos serveu one bonne estoufée des zou de mes poulliettes avou del lar, a vo relechi les babines
- Vos n'allé ni fé tot cte voye la el panse videu.

Il les poussa vers une table et revint quelques instant plus tard avec un plat d'œufs brouillé au lard et du pain frais.

Le festin terminer, il proposa toujours affable de les conduire a l'église.

PARVIS DE L 'EGLISE

Beaucoup de monde étaient déjà présent, des connus d'autres moins du beaux monde dans l' ensemble.

Ils se dirigèrent vers le futur couple pour les embrasser bien chaleureusement.

- Je vous souhaite a tout deux tout le bonheur du monde.
- Avez vous vus Noupi?

Laureen la chercha du regard parmi la foule.

maintenant que tout le monde etait entré, Noupi s'approcha de la porte, pris un profonde respiration et entra doucement. Puis elle se placa au fond de l'eglise, caché par un pilier , elle regardait mael et yann fièrement

son fils qui le rassure sur la seule incertitude qui lui restait, fille au bras...


Bien mon fils, je n'en attendai point moins de toi.

un regard vers Riwenn, tout etait ainsi prevu, il ne leur restait plus qu'a suivre la ceremonie et intervenir au moment opportun....

Il tourna son regard vers sa fille, lui sourit, vint lui remettre sa rouquine chevelure derriere les oreilles,

et si nous allions nous installer, il ne doit point t'etre agreable de rester trop longtemps debout...

A ces mots, ils commencerent a monter les marches pour penetrer dans l'edifice.... Apercoit sa belle devant, prenant deja place, il les mit en route vers elle, tout en laissant quelques mots a sa fille

je suis heureu que tu assistes au mariage de ton frere, le tiens viendra...