[Bayonne] Bapteme d'Artemisia et de Moorcock ~ Fait

Les évenements s'étaient bousculés sur Bayonne. Le désir profond de rejoindre la grande famille Aristotélitienne qui habitait Artemisia et Moorcock avait encore été exacerbé par l'urgence.Ils avaient préparés leurs pastorales avec le curé Oroch et entendaient bien être baptisés par ses soins.
Ils avaient donc publiés les bans, avertis leurs parrains et marraine...Ce serait pour demain 7 Octobre 1456 en l'eglise de Bayonne qu'ils seraient baptisés.
Moorcock se rappelait la lecture du livre des vertus et pria pour la communauté de Bayonne, pour qu'elle ressente ce bonheur qu'il partageait avec sa douce, cette joie profonde qui caractérise le don de soi...
Il attendait maintenant le curé pour qu'il leur donne les dernièrs conseils avant le sacrement.

Artemisia arriva sur le parvis de l'église au bras de son aimé , pour se faire baptiser avec lui afin qu'ils puissent tout deux entré dans la grande famille d'Aristote . Elle regarda si sa marraine était déjà la et serra tres fort la main de Moor . Elle était impressionné et espérait ne pas bredouillé quand le père Oroch s'adresserait a elle .

Moorcock entrait dans la cathedrale au bras de sa douce.
Il etait impressionné par la magnificence des lieux et surtout par la puissance de l'évenement qu'il s'appretait à vivre avec sa douce.
Un baptème c'était un pas vers la grande famille aristotelitienne et ce pas le faisait basculer vers un univers d'amour.
Le père Oroch de XHAARD les attendait au fond de l'église.
Reine, la marraine de sa douce les attendait.
Moorcock chercha du regard sa marraine qui devait être là avec le parrain de sa douce.

Bon bien ... tout le monde est la lancer la musique les enfants,

comme on l'a fait aux répétitions murmure t il




En ce jour du 8 octobre , j’ai l'immense joie d’offrir la chance à Dame Artemisia ma douanière préféré et Sir Moorcok notre maire adjoint de se rapprocher d’Aristote par son baptême.

Au travers de cette cérémonie, Nos amis ont exprimé la volonté de se rapprocher de la vérité, rentrer dans la communauté des croyants de notre Sainte Eglise Aristotélicienne.

Si le baptême est un acte tout à fait naturel dans notre Aristotélicienne époque, celui-ci permet a ces fidèles de voir leurs âmes illuminées par la foi, de joindre le temporel au spirituel, et d’agir sous l’observation et la bienveillance d’Aristote.

Le baptême signifie surtout pour lui le début de leur purification, et leur entrées dans une nouvelle ère sous les auspices divines.

leur venu "régulière" à la messe leur apportera bonheur et rapprochement vers Aristote.
leurs âme seront sauvées ... peut être ...si leur comportement est digne de leur entrée dans la foi Aristotélicienne, et les portes du paradis lui seront ouvertes.


mon fils et toi ma fillemaintenant approchez-vous du baptistère, et marchez sereinement vers ta bientôt nouvelle grande famille aristotélicienne.

un clin d'œil a la marraine Reine soleil qui est arrivée avec une belle Robe

Madame, vous êtes la marraine ? i est ou ton époux je l'ai pas vu [/i] [b] ?

Arte poussa un léger soupire de soulagement quand elle vit sa Marraine et son Parrain arrivé , elle leur sourit et s'approcha avec Moor du Père Oroch de Xaaard. Sa main toujours dans celle de Moor . Elle sourit timidement au curé et attendit .

Moorcock restait collé à sa douce pour se reconforter devant la grandeur de l'évènement.
Il sourit à Messire Glawach qui leur avait fait l'honneur d'accepter d'être le parrain de sa douce.
Dame Herra se tenait en retrait. Il esperait que sa future marraine serait à ses cotés lors de cet epreuve spirituelle.
Il avancérent devant le curé Oroch de Xhaard et attendirent.

deep aussi entendit les cloches sonnaient. il arriva et salua discretement les invites et fait un signe dela tete en directon de arte at moor.
ils asseya au cote de dame cedrin .

etant depuis peu a bayonne, noupi n'avait guerre eu la joie de participer a un baptême, alors quand arthé et moor l'invitèrent elle en fut enchantée.

elle entendit les cloches sonnaient, elle se dirigea vers l'église.

elle entra en silence, s'assit derrière deep et attendit les conseils du père Oroch.

elle se mit a penser qu'un jour elle serait la aussi avec son amour, elle souhaita tous les bonheurs du monde a ses amis.

Jour de baptême, mais aussi jour de fête pour tous les fidèles !regarde les deux qui se tiennent les mains.... vous deux... vous êtes en baptême pas en mariage.... la prochaine fois 2 va devenir 3 et vous savez de quoi je parle, mon église va briller... je veux dire celle de dieu souriant

d'un signe de main il demande au couplede regarder l'assembler



Lecture du Livre des Vertus –Livre 1, L’Eclipse- Partie VII, le PARADIS a écrit:

Citation :

Alors, sept grandes paires d’ailes magnifiques s’étendirent. Ils s’approchèrent du bord et se laissèrent tomber. Je hurlai de terreur, mais mon cri s’étouffa lorsque les Archanges redressèrent leur vol et s’envolèrent vers la soleil. Je pus voir sous moi l’ensemble de la lune et me promis intérieurement, si l’occasion m’en était donnée, de toujours vivre dans la vertu, suivant les préceptes d’Aristote et de Christos, afin de ne jamais plus retourner dans un endroit aussi sordide. Galadrielle me lança un sourire complice et me dit: “C’est bien. Tu as pris une judicieuse décision. Puissent les autres vivants faire la même.”

S’adressant aux futur baptisés :

avez vous compris le sens de ce texte ?

Souhaitez-vous être baptisé et devenir des enfants, des fidèles de notre bien-aimé Aristote ? êtes vous certain de vouloir prendre la judicieuse décision de toujours vivre dans la vertu ?


murmure aux deux avec un aire menaçant... si vous dite nous je vous refait passé la pastorale... euh... plutôt je vous fait passé la pastorale

moorcock serrait la main de sa douce en ecoutant attentivement les paroles d'Oroch de Xhaard. Il parlait de vertu, de lumière et de joie...Autant de mots qui emplissaient l'ame de Moorcock. Il avait toujours essayé d'agir pour le bien de ses proches et s'il lui était arrivé de s'egarrer, il marchait maintenant sur les pas d'Aristote et c'est avec une emotion certaine, la gorge sérrée qu'il dit :

Oui, je veux devenir un enfant de mon bien aimé Aristote ! Et je prend la judicieuse décision de toujours vivre dans la vertu.

Il ne put s'empecher de regarder sa douce qui paraissait aussi émue que lui et lui sourit.

avec un ton humoristique le curé dit : allez applaudissons les ! c'était la bonne réponse....

maintenant la question a mille mille écus !

je vais vous lire un partie du livre des vertus et ensuite je vous pose la question... vous êtes prêt ?

et sans attendre la réponse il passe les page rapidement pour s'arrêter la ou il a fait une marque

Citation :

Lorsqu’il se trouva face à Christos, le Centurion le regarda dans les yeux, intensément et assez longuement. Lorsque soudain, il ôta son casque et s’agenouilla en embrassant la robe de notre messie.

« Maître, supplia-t-il, à la plus grande surprise du Tribun, je voudrais vous suivre et faire partie de cette communauté de fidèles. Comment dois-je faire ? Je sais que je suis pécheur et que j’ai servi un mauvais maître, mais je t’en prie dis-moi comment me faire pardonner ! »
Alors Christos le releva et sous le regard médusé des romains, il prononça ces mots :
«Pécheur, je te le dis, tu viens de faire la première chose que les fidèles devront faire ; se montrer humble et confesser leurs péchés. Ainsi, si ton repentir est sincère, Dieu te pardonnera. »
Christos se tourna vers ses apôtres, et continua :
«Et vous, que les fautes commises par vos ouailles leurs soient pardonnées si elles viennent les confesser à vos oreilles, et qu’elles sont prêtes à en faire pénitence. »
Alors, Christos s’approcha de la fontaine, et dit encore au Centurion :
«Par la grâce de l’éternel, je vais te laver de tes péchés, te ceignant d’eau, source de vie. »
Et Christos plongea ses mains jointes sous le jet de la fontaine. Il aspergea la figure du Centurion de cette eau en chuchotant ces paroles :
« Seigneur, daigne laver cet homme de ses péché, et lui donner ainsi une nouvelle naissance parmi les croyants ! Au nom du Très Haut. Amen»

fermant le livre d'un coup sec comme d'habitude

Reconnais tu avoir pêché, et regrettes-tu ta vie de pêcheur?
T'engages-tu à aimer le Très Haut autant qu'il t'aime ? dit il s'adressant a chacun a son tour

Artemisia ne put s'empêcher de sourire aux paroles du Père Oroch et écouta la suite de la cérémonie avec attention se remémorant sa pastorale et lui répondit en essayant de ne pas bredouiller .


Oui mon Père je reconnais avoir pêché et je regrette cette vie de pêcheur !

Puis elle répondit tout aussi surement à l'autre question .

Oui je m'engage devant vous et toutes les personnes ici présente à aimé le très haut autant qu'il m'aime !


Elle se tourna vers son ange et le regarda tendrement et attendit qu'il réponde à son tour .

Moorcock ecoutait le père Oroch de Xhaard leur lire un passage du livre des vertus. Sa douce était à ses cotés et ecoutait aussi.
Autour d'eux, parrains et marraines ecoutaient et les cierges brulaient.
En regardant les cierges, il lui vint à l'esprit une histoire drôle qu'un ami lui avait conté.
Il se pencha vers sa douce et lui murmura :

C'est un curé qui vient de dire la messe et qui, se promenant dans les allées de son église, reconnait une femme en train de prier. Il s'approche d'elle et lui dit : Bonjour ma fille, il me semble vous connaitre ? Ne vous ai je point mariée il y a deux ans ? La femme repond : En effet, mon père, c'est vrai. Le pere enchaine : Et comment allez vous ? Avez vous des enfants ? La femme baisse la tête et souffle : Non mon père, malheureusement non. Nous essayons en vain d'en avoir un depuis notre mariage. Le père la rassure et lui dit : Je vais à Rome la semaine prochaine, je ferai bruler un cierge pour vous et votre epoux.

Le père Oroch continuait de lire et Moorcock continua son histoire en chuchotant, sa douce souriait mais était visiblement mal à l'aise.
Dix ans plus tard, le curé, devenu eveque, revient dans sa paroisse d'origine et retrouve la même femme qu'il avait marié en train de prier. Il l'aborde et lui dit : Ma chère enfant, ne vous ai je pas mariée il y a douze ans ? j'espère que vous allez bien ? Avez vous eu des enfants finalement ? Oh oui, votre eminence, j'ai quatre filles, trois garcons et deux jumeaux ! Ah parfait, dis l'eveque, qu'ils soient bénis ...et votre epoux ? Comment va t'il ? Et la femme de repondre : Fort bien, votre éminence, il est parti à Rome etteindre votre cierge !

Le père Oroch le regardait et attendait une réponse :


Oui, mon père, je confesse mes péchés et je suis prêt à en faire pénitence.
Je m'engage à aimer le Trés Haut autant qu'Il m'aime.

noupi en entendant les tibulations du curé se mit a sourire.
une question a mille ecus?, quelle question. il manquerait plus que moor et arte lui dise qu'il sont pas pres il en ferait une tete

ce curé la faisait rire et decidement il etait tres original. il lui manquerait probablement.

elle reprit son serieux et ecouta moor et arthe